Le 5 décembre dernier, le Réseau-femmes tenait son assemblée générale annuelle (AGA) au Centre communautaire francophone de Sarnia, un exercice qui n’a guère soulevé de vagues, l’organisme se portant bien et même encore mieux après ce face à face avec ses membres.

Comme dans toutes AGA, un rapport synthétisant les activités de l’année a été soumis à l’assistance. Le Réseau-femmes a ainsi, dans le cadre du programme d’appui transitoire, aidé 52 femmes francophones et contribué à la préparation de 49 plans de transition; 820 rendez-vous ont été pris pour le programme de counseling et d’accompagnement pour lequel ont été consacrées 1322 heures; 76 plans de sécurité ont été mis sur pied; etc.

La question financière a nécessité une mise au point. En effet, une erreur administrative datant de 2016 a été corrigée avec tous les ajustements que cela implique. Le vérificateur a cependant précisé que tout était désormais en ordre et que la gestion de la comptabilité du Réseau-femmes se caractérise par sa transparence et son professionnalisme.

Sans rien enlever au mérite du personnel, le conseil d’administration (C.A.) y est pour quelque chose dans la conduite fructueuse de l’organisme. Pascale Daigneault occupe les fonctions de présidente, Arielle Kayabaga celles de vice-présidente, Jackie Daamen celles de trésorière et Guilène Ngamewe celles de secrétaire. Au rang des administratrices, on trouve Anaise Muzima, Anto Massaya, Mélanie Vachon, Doris Leblanc et Hasnaa Alaoui qui remplace désormais Anne Toth, seul changement au C.A. Disposant chacune d’une formation et d’une expérience professionnelle des plus utiles pour l’organisme, elles continueront à y insuffler énergie et savoir-faire. « Toutes les membres du C.A. ont beaucoup de bagage académique. La gouvernance est vraiment forte », commente la directrice générale, Mariah Amor.

L’AGA fut aussi l’occasion de faire un retour sur les changements en ce qui concerne le personnel. Sur le terrain, le Réseau-femmes est à présent constitué, outre Mme Amor, de Blandine Lesage à la gestion, de Robin Mulhall à la comptabilité et des intervenantes Marie Benae à Windsor, Nathalie Ouattara à Sarnia et Karima Balkaid à London.

Avec une pareille équipe, tant à l’administration qu’au travail quotidien, le Réseau-femmes est bien en selle pour répondre aux impératifs de son mandat. À présent, place à 2019 avec tous les défis et toutes les attentes que comporte une nouvelle année!

 

PHOTO : L’assistance a pris connaissance de la situation de l’organisme et de ses activités.