Comme dans les autres écoles du Conseil scolaire catholique Providence, l’école élémentaire Saint-Jean-de-Brébeuf, à London, renouvelle chaque mois le plaisir des animations culturelles. Celle de janvier a particulièrement plu aux élèves et aux enseignants.

C’était cette fois au tour des élèves de 3e année d’épater leurs camarades. En effet, c’est chaque fois un différent niveau qui est responsable de mettre sur pied cette activité mensuelle. Le 27 janvier, en matinée, sous la supervision des enseignantes Chantale Girouard et Céline Poirier, les élèves ont interprété devant leurs pairs des danses folkloriques entraînantes et des chants religieux. C’est en classe qu’ils avaient appris et mémoriser les composantes de ce petit spectacle.

Les animations culturelles sont également des occasions de s’amuser. Des jeux à connotation humoristique avaient ainsi été organisés au grand plaisir des élèves. Ce type de divertissement sert à resserrer les liens d’amitié et développe chez les jeunes participants leur sentiment d’appartenance à l’école. C’est entre autres pour cette raison que des certificats ont été remis aux « agents de la paix », c’est-à-dire à des élèves qui se sont distingués par leur engagement à l’école, en aidant les autres, notamment. Qui plus est, des certificats ont aussi été remis aux élèves de 6e année pour le camp de leadership.

Stimuler la communication orale spontanée des jeunes, mettre en valeur la culture franco-ontarienne et inculquer des valeurs morales chrétiennes : telles sont les principales raisons d’être des animations culturelles. Chaque édition amène son lot de surprises mais les objectifs demeurent les mêmes, façonnant pendant plusieurs années le parcours scolaire des élèves et leur relation avec la communauté francophone.

Les animations culturelles ne sont pas les seules activités destinées à faire vivre des expériences identitaires enrichissantes. Les jeunes de Saint-Jean-de-Brébeuf n’ont d’ailleurs pas tardé à avoir une autre occasion de se divertir, cette fois à l’extérieur plutôt qu’au gymnase. Le carnaval d’hiver du 6 février, une tradition à cette école, a ainsi permis à tous de se dégourdir par le biais d’activités de toutes
sortes.